Metro Awakening VR

Plus besoin de présenter la franchise Metro qui, depuis des années, a su se créer une réputation solide dans le domaine des jeux post-apocalyptiques. Metro Awakening nous propose une immersion totale dans l’univers sombre de Dmitry Glukhovsky.

Les prémices

Comme d’habitude, Metro, c’est avant tout une question de survie succédant à une guerre nucléaire, la licence ne connaît pas la banalité et met en avant une atmosphère unique grâce à l’environnement sombre des couloirs de métro, seul endroit où l’humanité réside dans des conditions difficiles. J’ai pu profiter de cette expérience sur Meta Quest 3, les développeurs de Vertigo ont bien su mener la barque, c’est intuitif, c’est également angoissant et c’est tout ce qu’on demande en tant que joueur ! L’histoire se déroule en 2028, on y incarne un médecin « Serdar ». Sa femme tombe malade et la course contre la montre s’enclenche pour trouver un remède afin de pouvoir la guérir. Rien que ça, le jeu donne le ton d’une quête ô combien difficile, le titre est positivement terrifiant, mais non sans défaut.

La jouabilité, ça donne quoi ?

J’y ai joué quelques heures, assez pour y découvrir l’ensemble des mécaniques importantes du gameplay. Metro se veut intuitif, comme je le disais. Il est possible de détecter les radiations grâce au bip bip du compteur ainsi qu’un taux de radioactivité affiché sur notre masque. Il faut toujours rester sur ses gardes et garder un certain calme car Metro ne pardonne pas, l’environnement réaliste de celui-ci peut devenir fataliste avec des espaces restreints ainsi que des créatures qui vous poursuivent tout au long de votre aventure. Metro c’est également une expérience immersive, les équipements sont stockés et à disposition, si vous avez joué à Resident Evil 4 VR, ça devrait bien se passer pour vous. La progression se veut constante, plus on avance, plus on maîtrise et métro devient moins stressant car les mécaniques restent répétitives et les réflexes surviennent docilement. Le seul bémol reste la discrétion, le point le plus difficile a maitriser.

Conclusion 

Metro Awakening VR fait partie sans nul doute du meilleur du catalogue du Meta Quest, à la fois terrifiant et immersif. La licence propose une nouvelle fois une aventure horrifique aux côtés des plus grands ! En VR, on ne fait pas seulement que regarder comme sur les autres opus, on est dans Metro ! C’est l’aspect le plus réjouissant du titre, cependant il faut pouvoir assumer son côté stressant et surpasser sa peur de l’inattendu. Vertigo nous gâte en cette fin d’année, on ressent toute la puissance de la réalité virtuelle, qui selon moi est l’avenir du gaming ! Maintenant, réussirez-vous à garder votre sang-froid ? Merci Vertigo d’avoir rendu justice aux œuvres de Dmitry Glukhovsky.